!!Free-Gaza
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Des chars et des troupes israéliens qui se massent à la frontière entre la bande de Gaza et l'Etat hébreu, 6.500 réservistes mobilisés. Autant de signes qui laissent présager du prochain lancement d'une opération terrestre dans la bande de Gaza déjà soumise à des bombardements aériens. "Nous sommes prêts à toute éventualité. S'il est nécessaire de déployer des troupes pour défendre nos citoyens, nous le ferons", a déclaré le ministre israélien de la Défense, cité par son porte-parole. "Tsahal élargira et approfondira ses opérations à Gaza autant que nécessaire", a renchéri Ehud Barak en personne avant la réunion hebdomadaire du gouvernement à Jérusalem. "Nous devons savoir que cela ne sera pas de courte durée et cela ne sera pas facile, mais nous devons faire preuve de détermination", a-t-il ajouté.
Les bombardements se sont poursuivis toute la nuit de dimanche à lundi : un laboratoire de l'Université islamique de la bande de Gaza a été visé dimanche soir ainsi que le ministère de l'Intérieur du gouvernement du Hamas à Gaza lundi matin. Selon l'AFP, sept Palestiniens dont quatre enfants ont été tués par les raids de la nuit. A Ashkelon, dans le sud d'Israël, un Israélien a été tué lundi et sept autres blessés par la chute d'une roquette palestinienne à Ashkelon, dans le sud d'Israël. Il s'agit du deuxième mort israélien depuis le début de l'opération lancée samedi par Israël contre le Hamas dans la bande de Gaza.
En riposte, une vingtaine de nouvelles roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza dimanche dans le sud d'Israël, sans faire de victimes. L'une d'elles, de type Grad, a atteint pour la première fois Gan Yavné, près du port d'Ashdod, à plus de trente kilomètres de Gaza, selon les secours israéliens. Les rues de la ville de Gaza étaient quasi désertes tandis que des files se formaient devant les boulangeries. Les magasins et les écoles sont restés fermés en signe de deuil dans la plupart des villes du territoire, où des milliers de personnes ont participé aux funérailles des victimes de la veille, aux cris de : "Mort à Israël, mort à l'Amérique!".. Des policiers du Hamas étaient déployés dans les rues et bloquaient les accès à certains axes. Une grève des commerces était également observée en Cisjordanie, à Jérusalem-est et dans les villes arabes d'Israël. Des manifestations de soutien à Gaza ont eu lieu en Cisjordanie, l'une d'elles a été dispersée par la police palestinienne à Hébron. Un Palestinien a été tué par des tirs israéliens lors d'une autre manifestation, à Nilin dans le nord de la Cisjordanie. Des manifestations se sont aussi déroulées dans le monde arabe notamment au Caire, à Beyrouth, Sanaa, Dubaï et Damas.
Les attaques menées depuis samedi ont fait plus de 300 morts, en majorité des policiers du Hamas, et plus de 600 blessés, selon un nouveau bilan des services d'urgence palestiniens. 51 civils ont été tué, selon l'ONU qui cite des chiffres obtenus de sources hospitalières. A l'origine de cette nouvelle escalade de la violence au Proche-Orient : la nécessité pour Israël de faire cesser les tirs de roquettes et d'obus de mortier contre son territoire. A Gaza, les organisations humanitaires redoutent une crise sans précédent dans un territoire déjà exsangue, où la moitié du million et demi d'habitants est tributaire de l'aide alimentaire et où les hôpitaux manquent déjà de matériel médical. Israël va laisser entrer 160 tonnes de médicaments, de nourriture et de vêtements, ainsi que quatre ambulances. Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul Gheit, a accusé dimanche le Hamas d'empêcher les Palestiniens blessés de se rendre en Egypte pour y être soignés. Pourtant, la police égyptienne a tiré dimanche des coups de feu en l'air pour arrêter des Palestiniens qui tentaient de forcer la frontière entre la bande de Gaza et l'Egypte, au nord du terminal de Rafah. Un policier égyptien a même été tué par balle et un autre blessé à Rafah par des tirs en provenance de la bande de Gaza. En visite au Caire, le président palestinien Mahmoud Abbas, dont le Fatah a été mis en déroute par le Hamas l'an dernier à Gaza, a estimé que le mouvement islamiste avait sa part de responsabilité dans les derniers développements violents.
La ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, a appelé dimanche la communauté internationale à soutenir l'offensive israélienne à Gaza, lors d'une tournée de diplomates dans la ville de Sderot, cible habituelle des roquettes palestiniennes. "Nous attendons de la communauté internationale qu'elle soutienne notre opération qui vise à changer la situation sur le terrain et ramener le calme" pour des centaines de milliers d'Israéliens vivant à portée des roquettes tirées depuis la bande de Gaza. "Nous ne pouvons accepter que le monde mette sur le même plan une organisation terroriste comme le Hamas qui a pris le contrôle de la bande de Gaza de façon illégitime et un Etat membre des Nations unies" qui exerce son droit à l'autodéfense, a-t-elle déclaré à une soixantaine de représentants étrangers.
Le président Nicolas Sarkozy a exprimé sa "vive préoccupation face à l'escalade de la violence dans le sud d'Israël et dans la bande de Gaza", dimanche lors d'un entretien téléphonique avec le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, selon un communiqué de l'Elysée. Le chef de l'Etat français, également président en exercice du Conseil européen, qui a appelé par téléphone M. Abbas, "a rappelé sa ferme condamnation des provocations qui ont conduit à cette situation ainsi que de l'usage disproportionné de la force", ajoute l'Elysée.
Auparavant, le Conseil de sécurité de l'ONU, réuni en urgence, avait appelé à l'arrêt immédiat des violences dans la bande de Gaza. "Les membres du Conseil de sécurité expriment leur profonde inquiétude face à l'escalade de la situation à Gaza". La déclaration du Conseil de sécurité n'est pas contraignante. Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a estimé que les populations civiles palestinienne et israélienne avaient "dépassé les limites du supportable" et que le retour à la trêve était "l'unique solution", dans une déclaration publiée par le Journal du Dimanche. Au Caire, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul Gheit, a affirmé à l'issue d'un entretien avec le président palestinien Mahmoud Abbas que l'Egypte tentait négocier un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, qui pourrait être suivi d'une trêve. Un haut responsable syrien a déclaré que les négociations indirectes de paix entre la Syrie et Israël ne pourront pas se poursuivre à cause de "l'agression israélienne" contre la bande de Gaza.
Le secrétaire général du Hezbollah chiite libanais Hassan Nasrallah a appelé dimanche le peuple égyptien à descendre "par millions" dans la rue pour forcer l'ouverture du terminal de Rafah, frontalier de la bande de Gaza. Il a déclaré dimanche avoir demandé à ses combattants au Sud-Liban de se tenir prêts à une éventuelle attaque israélienne sur le territoire libanais
Les bombardements se sont poursuivis toute la nuit de dimanche à lundi : un laboratoire de l'Université islamique de la bande de Gaza a été visé dimanche soir ainsi que le ministère de l'Intérieur du gouvernement du Hamas à Gaza lundi matin. Selon l'AFP, sept Palestiniens dont quatre enfants ont été tués par les raids de la nuit. A Ashkelon, dans le sud d'Israël, un Israélien a été tué lundi et sept autres blessés par la chute d'une roquette palestinienne à Ashkelon, dans le sud d'Israël. Il s'agit du deuxième mort israélien depuis le début de l'opération lancée samedi par Israël contre le Hamas dans la bande de Gaza.
En riposte, une vingtaine de nouvelles roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza dimanche dans le sud d'Israël, sans faire de victimes. L'une d'elles, de type Grad, a atteint pour la première fois Gan Yavné, près du port d'Ashdod, à plus de trente kilomètres de Gaza, selon les secours israéliens. Les rues de la ville de Gaza étaient quasi désertes tandis que des files se formaient devant les boulangeries. Les magasins et les écoles sont restés fermés en signe de deuil dans la plupart des villes du territoire, où des milliers de personnes ont participé aux funérailles des victimes de la veille, aux cris de : "Mort à Israël, mort à l'Amérique!".. Des policiers du Hamas étaient déployés dans les rues et bloquaient les accès à certains axes. Une grève des commerces était également observée en Cisjordanie, à Jérusalem-est et dans les villes arabes d'Israël. Des manifestations de soutien à Gaza ont eu lieu en Cisjordanie, l'une d'elles a été dispersée par la police palestinienne à Hébron. Un Palestinien a été tué par des tirs israéliens lors d'une autre manifestation, à Nilin dans le nord de la Cisjordanie. Des manifestations se sont aussi déroulées dans le monde arabe notamment au Caire, à Beyrouth, Sanaa, Dubaï et Damas.
Les attaques menées depuis samedi ont fait plus de 300 morts, en majorité des policiers du Hamas, et plus de 600 blessés, selon un nouveau bilan des services d'urgence palestiniens. 51 civils ont été tué, selon l'ONU qui cite des chiffres obtenus de sources hospitalières. A l'origine de cette nouvelle escalade de la violence au Proche-Orient : la nécessité pour Israël de faire cesser les tirs de roquettes et d'obus de mortier contre son territoire. A Gaza, les organisations humanitaires redoutent une crise sans précédent dans un territoire déjà exsangue, où la moitié du million et demi d'habitants est tributaire de l'aide alimentaire et où les hôpitaux manquent déjà de matériel médical. Israël va laisser entrer 160 tonnes de médicaments, de nourriture et de vêtements, ainsi que quatre ambulances. Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul Gheit, a accusé dimanche le Hamas d'empêcher les Palestiniens blessés de se rendre en Egypte pour y être soignés. Pourtant, la police égyptienne a tiré dimanche des coups de feu en l'air pour arrêter des Palestiniens qui tentaient de forcer la frontière entre la bande de Gaza et l'Egypte, au nord du terminal de Rafah. Un policier égyptien a même été tué par balle et un autre blessé à Rafah par des tirs en provenance de la bande de Gaza. En visite au Caire, le président palestinien Mahmoud Abbas, dont le Fatah a été mis en déroute par le Hamas l'an dernier à Gaza, a estimé que le mouvement islamiste avait sa part de responsabilité dans les derniers développements violents.
La ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, a appelé dimanche la communauté internationale à soutenir l'offensive israélienne à Gaza, lors d'une tournée de diplomates dans la ville de Sderot, cible habituelle des roquettes palestiniennes. "Nous attendons de la communauté internationale qu'elle soutienne notre opération qui vise à changer la situation sur le terrain et ramener le calme" pour des centaines de milliers d'Israéliens vivant à portée des roquettes tirées depuis la bande de Gaza. "Nous ne pouvons accepter que le monde mette sur le même plan une organisation terroriste comme le Hamas qui a pris le contrôle de la bande de Gaza de façon illégitime et un Etat membre des Nations unies" qui exerce son droit à l'autodéfense, a-t-elle déclaré à une soixantaine de représentants étrangers.
Le président Nicolas Sarkozy a exprimé sa "vive préoccupation face à l'escalade de la violence dans le sud d'Israël et dans la bande de Gaza", dimanche lors d'un entretien téléphonique avec le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, selon un communiqué de l'Elysée. Le chef de l'Etat français, également président en exercice du Conseil européen, qui a appelé par téléphone M. Abbas, "a rappelé sa ferme condamnation des provocations qui ont conduit à cette situation ainsi que de l'usage disproportionné de la force", ajoute l'Elysée.
Auparavant, le Conseil de sécurité de l'ONU, réuni en urgence, avait appelé à l'arrêt immédiat des violences dans la bande de Gaza. "Les membres du Conseil de sécurité expriment leur profonde inquiétude face à l'escalade de la situation à Gaza". La déclaration du Conseil de sécurité n'est pas contraignante. Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a estimé que les populations civiles palestinienne et israélienne avaient "dépassé les limites du supportable" et que le retour à la trêve était "l'unique solution", dans une déclaration publiée par le Journal du Dimanche. Au Caire, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul Gheit, a affirmé à l'issue d'un entretien avec le président palestinien Mahmoud Abbas que l'Egypte tentait négocier un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, qui pourrait être suivi d'une trêve. Un haut responsable syrien a déclaré que les négociations indirectes de paix entre la Syrie et Israël ne pourront pas se poursuivre à cause de "l'agression israélienne" contre la bande de Gaza.
Le secrétaire général du Hezbollah chiite libanais Hassan Nasrallah a appelé dimanche le peuple égyptien à descendre "par millions" dans la rue pour forcer l'ouverture du terminal de Rafah, frontalier de la bande de Gaza. Il a déclaré dimanche avoir demandé à ses combattants au Sud-Liban de se tenir prêts à une éventuelle attaque israélienne sur le territoire libanais
y12- عضو خيالي !!!
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رد: !!Free-Gaza
شكرا
shatha- عضو محترف !!
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العمل/الترفيه : قراءة قصص انجليزية والاستماع الى اغاني مايلي ( هانا مونتانا ) و مشاهدة افلام اجنبية ( بالانجليزي )
المزاج : متقلبة
تاريخ التسجيل : 15/11/2008
رد: !!Free-Gaza
شكرا...........
maram- عضو محترف !!
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رد: !!Free-Gaza
مشكور
rero- عضو نادر !
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العمل/الترفيه : البالي والسباحه وركوب الخيل
المزاج : متقلبه في بعض الاحيان
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